COMME UN PUZZLE
Pour partager avec vous mes recherches et découvertes. Vous pouvez suivre cette généalogie familiale dans la rubrique Les Articles.
Les recherches, parlons-en, en quoi consistent-elles ? de quoi partir ? comment faire ?
Afin d’illustrer ma démarche, j’ai choisi l’analogie avec un puzzle, qui comme tous les jeux, a ses règles, son caractère ludique, et bien sûr une issue qui n’est pas connue à l’avance :
« Faire un puzzle consiste à poser les pièces sur une surface plane et à les emboîter les unes dans les autres de manière à reconstituer une image dont le modèle accompagne le puzzle. Les pièces sont conçues pour ne permettre qu’une seule configuration. »
« poser les pièces sur une surface plane » : commencer par réunir les pièces. C’est l’étape « Collection » qui constitue une activité à part entière, car il faut réunir les pièces qui correspondent à ce thème et seulement celui-là. Collection, parce qu’on se prend vite au jeu de découvrir quelques ancêtres supplémentaires,
« les emboîter les unes dans les autres » : faire concorder les personnes entre elles et les informations. C’est l’étape « Enquête » la recherche systématique de la vérité par l’interrogation de témoins et la réunion d’éléments d’information. Je remercie ici avec beaucoup d’émotion tous ceux et celles, détenteurs des informations, des papiers familiaux, des photos qui ont transmis ce qu’ils savent et qui leur avait été communiqué, ceux sans qui cette histoire qui est celle de tous n’aurait pu être reconstituée : je pense qu’ils sauront se reconnaître….
« reconstituer une image » : celle que formera l’arbre généalogique.
« …. dont le modèle accompagne le puzzle » : ici, il s’agit d’un puzzle dont on aurait perdu le modèle à reconstituer. Des fragments existent, mais pas de vue d’ensemble.
« La difficulté d’un puzzle dépend du nombre de pièces, et varie en fonction de leur taille et de celle du puzzle complet »: aujourd’hui, notre ascendance compte 162 personnes. Heureusement que les logiciels de généalogie existent !
« La méthode de résolution communément pratiquée passe par les étapes suivantes :
• recherche des coins : les quatre pièces formant les coins du puzzle complet se repèrent par leur absence d’excroissance ou de creux sur deux côtés contigus ;
• recherche des bords : les bords se repèrent par leur absence d’excroissance ou de creux sur un des quatre côtés ; Les coins et les bords n’étaient pas identifiables, pour faire notre généalogie, j’ai procédé à l’inverse, par le bord inférieur.
• remplissage : il faut ensuite assembler le reste des pièces, soit à partir des bords, soit à partir des éléments les plus aisément reconnaissables sur l’image (par exemple le personnage ou le monument principal) ; donc, partir des personnes connues afin de constituer une base solide.
• pour ne pas avoir à piocher au hasard une pièce parmi plusieurs centaines, voire plusieurs milliers, on peut au préalable trier les pièces par couleur dominante ou par la forme de leurs excroissances et de leurs creux. » Vous l’aurez compris, l’organisation est un des maitres-mots de cette recherche !
« Un puzzle s’accompagne généralement d’une indication d’âge faisant référence au public qui sera le plus à même de le résoudre sans qu’il soit ni trop facile ni trop difficile » Dans le cas présent, l’indication manque, et c’est ce qui fait tout l’intérêt…Curiosité, envie d’en savoir toujours plus. Souvent les informations transmises par les mairies m’ont permis d’avancer, mais parfois, à cause des homonymies existantes dans le même village, cela m’a conduit à quelques fausses pistes… mais je n’ai pas renoncé pour autant !
Le plus intéressant, c’est que loin d’être terminé, la mise en ligne prochaine des archives de l’Aisne et de la Seine Maritime permettront d’éclairer et de développer les autres branches familiales.
Parce que ce blog est le vôtre, vos commentaires sont les bienvenus !
BRAVO !!
Toujours très intéressant !!
Bravo encore
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